« Dans le train, je préfère de beaucoup le livre au journal (…). Le journal ne me fait pas suffisamment sortir de la vie présente », dit Frédéric dans L’Amour l’après-midi d’Eric Rohmer. Le livre est une échappatoire, un accès à la rêverie.
Dans le cinéma de Rohmer, les personnages lisant ont souvent quelque chose de nonchalant, de sensuel et de gracieux. Le livre est un moyen de combler l’attente, mais c’est aussi un objet esthétique.
Voici un petit montage des Rohmériens et Rohmériennes lisant, au café, dans les parcs, dans la rue, dans le train… Et vous, lisez-vous encore dans le métro ?